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82e du Congrès de l'Acfas - Colloque 55 - La mise en réseau des acteurs de l’innovation : une valeur ajoutée pour les milieux utilisateurs?
Mardi 13 mai de 08 h 15 à 19 h 00.
Responsable(s)
Nadine Arbour Cégep de Jonquière / Marie Gagne Réseau Trans-tech
Description
En octobre 2013, le gouvernement du Québec lançait sa Politique nationale de la recherche et de l’innovation (PNRI) intitulée Investir dans la recherche et l’innovation, c’est investir dans le Québec. Dans ce document, on faisait notamment mention, à la page 43, du soutien à la création du Réseau recherche innovation Québec (RRIQ), qui vise à « regrouper, sous une même bannière, près de 120 organismes de mobilisation des connaissances soutenus par le Québec. Feront partie du RRIQ : les consortiums de recherche, les centres de recherche appliquée, les regroupements sectoriels de recherche industrielle, les centres de liaison et de transfert, les organismes de liaison et de transfert en innovation sociale, les sociétés de valorisation de la recherche universitaire, ainsi que les centres collégiaux de transfert de technologie. »
Les mandats qu’aura le RRIQ sont clairs :
1. Promouvoir les résultats de la recherche appliquée dans un contexte international;
2. Rendre ces résultats accessibles aux intervenants des secteurs public et privé, et plus particulièrement aux PME;
3. Contribuer à l’emploi d’une nouvelle génération de chercheurs, particulièrement dans le secteur de la recherche industrielle, dans le cadre de projets multidisciplinaires et intersectoriels.
Dans la PNRI, le gouvernement demande de formaliser le réseau pour en optimiser les retombées pour les milieux utilisateurs et privilégie les approches interordres, interdisciplinaires, intersectorielles, internationales et intergénérationnelles. C’est autour de ces cinq thèmes que sera articulée la journée afin de déterminer les meilleures pratiques à soutenir ou à développer pour obtenir des retombées mesurables dans les milieux. En fonction à la fois du type d’organisme et de l’organisme lui-même qui aura la parole, les mandats comme les visions seront différents. C’est par des discussions, des échanges, mais aussi par la présentation d’exemples concrets que nous croyons que les participants pourront développer une vision commune et avancer dans l’élaboration et l’utilisation de méthodes de partenariat à la fois efficaces et porteuses pour le Québec.
