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Résultats d'une étude ÉCOBES-Recherche et transfert

L'accès aux études collégiales et la transition secondaire-cégep

À l’aube des années 1960, seulement 13 % des jeunes Québécois francophones terminaient leur 11e année [l’équivalent de la 5e secondaire] et à peine 4 % fréquentaient l’université. Ce chiffre était de 11 % pour les anglophones du Québec. Aujourd'hui, 84,2 % des élèves de la cohorte de 2016 obtiennent un diplôme ou une qualification du secondaire. Les grandes lignes d'une étude menée par ÉCOBES - Recherche et transfert, présentée lors du colloque organisé pour les 100 ans de Guy Rocher, 18 avril 2024.

Par Michaël Gaudreault, enseignant-chercheur en statistiques, ÉCOBES – Recherche et transfert du Cégep de Jonquière

Présentation lors du colloque organisé pour les 100 ans de Guy Rocher, 18 avril 2024

Constat 1
Un grand effort de démocratisation des études supérieures qui porte ses fruits

« À l’aube des années 1960, seulement 13 % des jeunes Québécois francophones terminaient leur 11e année [l’équivalent de la 5e secondaire] et à peine 4 % fréquentaient l’université. Ce chiffre était de 11 % pour les anglophones du Québec » (1). En 1961, le gouvernement de Jean Lesage créait une commission royale d’enquête sur l’enseignement, présidée par monseigneur Parent, afin de réduire les disparités interrégionales et de favoriser l’accès aux études supérieures. Plusieurs recommandations du rapport Parent, produit en 1963, ont été mises en place au cours des années suivantes : « école obligatoire gratuite jusqu’à 15 ans et jusqu'à la 11e année; abolition des collèges classiques; création des polyvalentes et des cégeps pour les études préuniversitaires; création du réseau de l’Université du Québec dans l’ensemble du Québec; établissement d’un régime de prêts et bourses pour les étudiants aux niveaux collégial et universitaire; création d’un ministère de l’Éducation » (1).

Si l’on regarde de plus près la situation de la diplomation actuelle, 84,2 % des élèves obtiennent un diplôme ou une qualification du secondaire (cohorte de 2016 suivie jusqu’en 2023) (2). Dix-huit ans plus tôt, le taux n’était que de 70,4 % pour la cohorte de 1998 (3), soit un gain de 13,8 points de pourcentage sur cette période. À terme, cette augmentation de la diplomation au secondaire se traduit par une plus grande scolarité de la population adulte. Selon le recensement de 2021 (4), 88,2 % des 25 à 64 ans détiennent au moins un diplôme ou une qualification du secondaire, alors que ce taux n’était que de 82,9 % 15 ans plus tôt (5). Plus précisément, 18,9 % des 25 à 64 ans détiennent un diplôme ou un certificat collégial et 33,4 % détiennent un diplôme ou un certificat universitaire en 2021, pour un total combiné de 52,3 %. Si l’on remonte en 2006, ces proportions étaient respectivement de 17,5 % et de 26,2 %, pour un total combiné de 43,7 %. Lorsqu’on compare le Québec avec le reste du Canada, la proportion de personnes détenant un grade universitaire supérieur ou égal au baccalauréat (29,5 %) est tout de même inférieure à la moyenne canadienne, mais c’est au Québec que la proportion de celles détenant un diplôme postsecondaire (incluant la formation professionnelle, le cégep et l’université) est la plus élevée (71,2 %) (6). Dans la population âgée de 25 à 64 ans, 33,0 % des femmes et 26,0 % des hommes détiennent un grade universitaire. L’écart de scolarisation universitaire entre les genres est donc de 7,0 points de pourcentage, une augmentation de 2,0 points par rapport au recensement précédent. Chez les personnes de 25 à 34 ans, l’écart atteint 12,7 points de pourcentage (42,0 % chez les femmes et 29,3 % chez les hommes) (6).

Constat 2
Forte progression du taux d’accès aux études collégiales

Le taux d’accès aux études collégiales de cohortes d’élèves suivies à partir de la première secondaire pendant une période de sept ans a grandement progressé au Québec. Sur une période de 18 ans, il est passé de 53,6 % pour la cohorte de 1998 (suivie jusqu’en 2005) à 67,3 % pour la cohorte de 2015 (suivie jusqu’en 2022), soit un gain de 13,7 points de pourcentage (7). Chez les femmes, cette proportion est passée de 63,0 % à 76,9 %, tandis que chez les hommes, elle est passée de 44,6 % à 58,0 %. Au cours des sept dernières années, le taux d’accès aux études collégiales a progressé d’un point de pourcentage par année pour les élèves provenant du secteur public, tandis qu’il n’a pas progressé pour les élèves provenant du secteur privé.

Constat 3
Plus d’élèves du secondaire dits vulnérables obtiennent un diplôme

Les gains de diplomation observés au cours des dernières années au secondaire sont surtout observés auprès des populations les plus vulnérables : élèves handicapés ou en difficulté d’adaptation ou d’apprentissage (EHDAA), avec un retard scolaire à l’entrée du secondaire, immigrants, autochtones et en milieux défavorisés. Au cours des six dernières années, le taux de diplomation et de qualification après sept ans au secondaire au réseau public a augmenté plus rapidement pour ces populations d’élèves (8) et, à l’inverse, le taux de sortie sans diplôme a diminué (9).

Taux d’obtention d’un diplôme ou une qualification après sept ans au secondaire, réseau public, sexes réunis, cohortes de 2008 et de 2014

 

Cohorte de 2008
(suivie jusqu’en 2015)

Cohorte de 2014
(suivie jusqu’en 2021)

Augmentation

Réseau public

74,9

79,0

4,1

Élèves HDAA

48,3

57,5

9,2

Élèves ordinaires

82,4

86,8

4,4

Entrée au secondaire à 12 ans

78,3

82,9

4,6

Avec un retard scolaire

48,5

53,6

5,1

Milieux favorisés

81,0

84,2

3,2

Milieux intermédiaires

75,6

78,8

3,2

Milieux défavorisés

69,0

74,6

5,6

Immigrants de 1re génération

73,0

81,4

8,4

Immigrants de 2e génération

81,5

84,4

2,9

Non-immigrants

74,0

77,4

3,4

Constat 4
La population étudiante collégiale se diversifie

Au cours des dernières années, certains groupes d’étudiants sont plus fortement représentés parmi la population étudiante collégiale. Nommons notamment les personnes de 20 ans ou plus ou celles ayant des enfants à charge, les étudiants immigrants ou internationaux, de même que les personnes en situation de handicap. Entre 2009 et 2018, le nombre de personnes de 20 ans et plus, provenant de l’international ou en situation de handicap dans les cégeps a augmenté respectivement de 22 %, 290 % et 587 %, tandis que le nombre global de personnes inscrites a augmenté de moins de 5 % (10). De plus, l’augmentation de la diplomation au secondaire de différentes populations plus vulnérables, montrée au constat 4, leur ouvre toutes grandes les portes vers les études supérieures, mais des enjeux de transition demeurent pour plusieurs, comme montré au constat 5.

Constat 5
D’importantes disparités demeurent quant à l’accès aux études collégiales

Sur les 104 MRC du Québec, 3 ont des taux d’accès supérieurs à 75 %, tandis qu’à l’autre bout du spectre, ce taux est inférieur à 40 % dans 9 territoires pour la cohorte de 2014 (suivie jusqu’en 2021). Au total, 5 territoires ont un écart de plus de 40 points de pourcentage avec les territoires les plus favorisés en matière d’accès. Le taux est inférieur à 40 % dans 30 territoires de MRC pour les garçons et dans seulement 3 territoires de MRC pour les filles (11). Les disparités sont aussi très présentes au sein même d’une région donnée. Par exemple, à l’échelle des quartiers de Montréal, le taux d’accès de 2022 oscille entre 84 % et 53 %, soit un écart de plus de 30 points de pourcentage (7).

Constat 6
La proximité des cégeps, un important facteur de diplomation au secondaire

En plus de favoriser l’accès aux études supérieures (12), la répartition des cégeps partout sur le territoire permet de favoriser l’obtention d’un diplôme ou d’une qualification du secondaire. Elle permettrait, en effet, aux jeunes de tout le Québec de mieux se projeter et d’avoir des aspirations scolaires élevées. Leur proximité entraîne aussi moins de déplacements et des coûts moins élevés, ce qui constitue un facteur important pour permettre l’accès, selon les parents d’élèves du secondaire plus vulnérables au regard de leurs revenus ou de leur niveau de scolarité (13). Selon les analyses réalisées par l’équipe d’ÉCOBES, en plus de certains facteurs connus comme la défavorisation, la ruralité, une plus faible scolarité de la population adulte, etc., le fait d’habiter un territoire plus éloigné des établissements collégiaux diminue de manière significative les chances de diplômer. Aussi, le modèle statistique est plus performant lorsque l’on inclut les centres d’études à l’analyse (14).

Constat 7
La transition secondaire-cégep difficile pour plusieurs populations étudiantes

La transition entre le secondaire et le cégep s’amorce en amont, avec l’obtention des préalables. Il faut ensuite passer avec succès le processus d’admission, puis s’inscrire au cégep, mais la transition repose aussi sur la réussite du début de son parcours, qui peut être révélée par la réussite des cours à la première session et la réinscription au troisième trimestre. Une analyse réalisée auprès de plus de 11 000 jeunes du réseau public montréalais montre que plusieurs groupes sont susceptibles de rencontrer des difficultés à plusieurs de ces moments charnières de leur transition, notamment quant au taux d’inscription aux études collégiales. Il s’agit principalement des personnes qui ont une MGS inférieure à 70 %, qui s’inscrivent au cégep après leur première période d’admissibilité, qui ont un retard scolaire, qui ont un plan d’intervention au secondaire ou qui sont considérées comme EHDAA, des garçons ou des personnes fréquentant une école défavorisée selon son IMSE, fréquentant une école francophone ou étant inscrites dans un programme régulier. Les personnes admises conditionnellement et celles ayant des antécédents plus faibles en mathématiques sont aussi plus susceptibles de présenter une transition difficile (15).

Enjeux de transition secondaire-cégep de différentes populations étudiantes

Sous-populations étudiantes

Admission

Accès

Adaptation

Inscrits après l’automne 2015 (groupes 2 ou 3)

 

 

 

Moyenne au secondaire faible (MGS < 70 %)

 

 

 

Avec un retard scolaire

 

 

 

Avec un plan d’intervention au secondaire

 

 

 

Élèves HDAA

 

 

 

Préalable de mathématique CST 4

?

?

 

Admission conditionnelle aux études collégiales

---

---

 

Garçons

 

 

 

Centres de services scolaires francophones

 

 

 

Programme régulier au secondaire

 

 

 

Provenant d’une école défavorisée (IMSE 8 à 10)

 

 

 

Immigrants de 1re génération

 

 

 

Rouge : grand enjeu; orange : enjeu modéré; gris : aucune différence notable; ? : donnée non disponible.

Admission : taux d’admission à l’enseignement collégial parmi ceux ayant effectué une demande d’admission
Accès : taux d’inscription à l’enseignement collégial d’une cohorte de finissants de 5e secondaire Adaptation : taux de réussite d’au moins la moitié des cours à la première session des études collégiales

Constat 8
La réussite à la première session toujours aussi déterminante

Il y a 10 ans, une analyse du Service régional d’admission du Montréal métropolitain (SRAM) démontrait qu’un étudiant qui échoue à au moins un cours de sa première session d’études collégiales a 2,5 fois moins de chances d’obtenir un DEC deux ans après la durée prévue du programme initial (DEC + 2 ans) que celui qui réussit tous ses cours (36,5 % contre 82,7 %) (16). Une nouvelle analyse du SRAM, réalisée à la demande de notre équipe de recherche portant sur une cohorte récente, soit celle de 2016 suivie jusqu’en 2021, démontre que ce constat est toujours vrai. Les taux d’obtention d’un DEC sont respectivement passés à 33,4 % et à 80,9 %, ce qui est encore 2,5 fois moindre. De plus, on y apprend que les chances d’obtenir un DEC pour une personne qui échoue à au moins un cours à la première session sont équivalentes à celles d’une personne ayant une MGS de 10 points de moins, mais qui aurait réussi tous ses cours (17). Enfin, une étude PAREA sur les étudiantes et les étudiants sous contrat de réussite montre qu’une personne qui échouerait à la moitié de ses cours ou plus à la première session voit ses chances d’obtenir un DEC chuter à 15 % (cinq fois moins que celle qui réussit tous ses cours à la première session), tandis que cette proportion est plutôt à 26 % si les échecs multiples surviennent plus tard dans le parcours de l’étudiant (18).

Constat 9
L’allongement des études collégiales n’est généralement pas planifié

Le rapport aux études supérieures se transforme. De moins en moins d’étudiants du collégial obtiennent leur DEC selon la durée prévue. Pour les cohortes récentes (cohortes de 2015 à 2017), moins du tiers des nouveaux inscrits y parvient, alors qu’un peu plus de 10 ans auparavant (cohortes de 2003 à 2005), ce pourcentage était supérieur à 38 %. Par contre, le taux d’obtention d’un DEC deux ans après la durée prévue est sensiblement le même aujourd’hui qu’il y a une quinzaine d’années (environ 63 %) (19). Selon une analyse du SRAM, l’allongement des études ne serait pas lié à une baisse du niveau scolaire antérieur des étudiants, et ceux-ci ne réussissent pas moins bien leurs cours de cégep maintenant qu’avant, mais ils suivent en moyenne moins de cours par session et changent plus souvent de programme (20). Aussi, selon les données du SPEC, cet allongement des études n’est habituellement pas planifié, puisque 78 % des nouveaux inscrits prévoient réaliser leur DEC en respectant la durée prévue et que seulement 5 % choisissent dès le départ de prolonger leurs études, le plus souvent pour la pratique d’un sport, pour alléger leur session dans le but d’avoir moins de stress ou pour leur permettre de mieux réussir (21).

Constat 10
Certains groupes d’étudiants particulièrement à risque d’échecs

Que l’on s’intéresse aux facteurs de risque d’échouer à des cours à la première session ou de se retrouver sous contrat de réussite pour l’échec d’au moins la moitié de ses cours lors d’une session donnée, les groupes présentant des difficultés sont sensiblement les mêmes. Nommons notamment les personnes de sexe masculin, celles s’étant inscrites au cégep à 18 ou 19 ans, les adultes (24 ans ou plus) ou les personnes ayant des enfants à charge, celles présentant des antécédents plus faibles au secondaire (MGS), celles inscrites en Tremplin DEC, les personnes étudiantes de première génération (EPG), les personnes en situation de handicap avec ou sans diagnostic, les personnes immigrantes de première génération et les personnes autochtones. Les personnes de la population B, celles qui doivent déménager pour poursuivre leurs études collégiales et les personnes étudiantes internationales sont aussi désavantagées (22). Certains groupes supplémentaires sont identifiés chez les personnes en grande situation d’échecs, notamment les personnes qui déclarent des difficultés financières et qui se disent être peu motivées ou peu assidues dans leurs travaux scolaires avant d’entreprendre le cégep. Toujours chez les personnes en grande situation d’échecs, quatre principaux facteurs sont liés à une plus faible obtention d’un diplôme après l’échec : avoir des antécédents plus faibles en français écrit ou en mathématiques, avoir des difficultés financières et être moins assidus dans ses études (23).


(1) Radio-Canada. 2023. La commission Parent, une révolution tranquille dans l’enseignement au Québec.

(2) Ministère de l’Éducation. 2024. Tableau de bord de l’éducation.

(3) Ministère de l’Éducation. Édition 2016. Diplomation et qualification par commission scolaire au secondaire.

(4) ÉCOBES-Recherche et transfert. 2024. Thème Scolarité des adultes et littératie (Statistique Canada, recensement de 2021) sur la plateforme Regard360.ca.

(5) ÉCOBES-Recherche et transfert. 2024. Thème Conditions de vie (Statistique Canada, recensement de 2006) sur la plateforme CartoJeunes.ca.

(6) Institut de la statistique du Québec. 2024. Les titulaires d’un grade universitaire au Québec : ce qu’en disent les données du Recensement de 2021.

(7) ÉCOBES-Recherche et transfert. 2024. Thème Parcours scolaires au secondaire (ministère de l’Éducation) sur la plateforme Regard360.ca.

(8) Ministère de l’Éducation. Éditions 2017 et 2022. Diplomation et qualification par commission scolaire au secondaire.

(9) Institut de la statistique du Québec. 2020. Regard statistique sur la jeunesse. État et évolution de la situation des Québécois âgés de 15 à 29 ans, 1996 à 2018. https://www.stat.gouv.qc.ca/statistiques/conditions-vie-societe/regard-jeunesse-2020.pdf

(10) Gaudreault, M. M. et Gaudreault, M., 2021. « Accès, persévérance et diplomation aux études collégiales : ce que l’on en sait ». Les cahiers de l’IRIPI 3. Pratiques inclusives en contexte de diversité dans les milieux d’enseignement. Actes du colloque virtuel du 26 et 27 novembre, 16-30.

(11) ÉCOBES-Recherche et transfert. 2024. Thème Parcours scolaires au secondaire (ministère de l’Éducation) sur la plateforme CartoJeunes.

(12) Veillette, S., Perron, M. et Hébert, G. 1993. Les disparités géographiques et sociales de l’accessibilité au collégial. ÉCOBES.

(13) Gaudreault, M. M. et Gaudreault, M. 2020. Parents de Chaudière-Appalaches à vous la parole! Rapport régional. ÉCOBES.

(14) Gaudreault, M. M., Morin, I. Simard, J.-G., Perron, M. et Veillette, S. 2018. Les facteurs territoriaux de persévérance et de réussite scolaires au Québec. Les Sciences de l’éducation – Pour l’Ère nouvelle. 2018/3 Vol. 51. 37-60.

(15) Gaudreault, M. M. 2022. Suivi des transitions secondaire-collégial. Vers la production d’un tableau de bord régional. Dans le cadre du webinaire La transition du secondaire vers le cégep à Montréal : mieux comprendre pour mieux agir. ÉCOBES.

(16) Lafleur, J. et Ducharme, R. 2013. La voie de la réussite, la voix des étudiants. Dans Pédagogie collégiale. Vol 26, no 3.

(17) Gaudreault, M. M., Richard, É., Tardif, S., Gallais, B., Chagnon, M. et Gaudreault, M. À paraître. Expérience étudiante, motivation, santé mentale et réussite des étudiantes et les étudiants à leur deuxième session d’études. ÉCOBES, CRISPESH et IRIPII.

(18) Paquette, Chantal, Gaudreault, Michaël, Trudel, Dominique, Gaudreault, Marco, Maltais, Carolyne et Charrette, Marie-Pier. 2024. Les étudiantes et les étudiants sous contrat de réussite dans le réseau collégial : les connaître, les soutenir. Cégep André-Laurendeau.

(19) ÉCOBES-Recherche et transfert. 2024. Thème Parcours scolaires au collégial (ministère de l’Enseignement supérieur) sur la plateforme Regard360.ca.

(20) Service régional d’admission du Montréal métropolitain. 2020. Regard sur l’allongement des études collégiales. Les têtes chercheuses, volume 7.

(21) Gaudreault, M. M., Gaudreault, M., El-Hadge, H., Robert, É., Richard, É., Roy, S., Landry, D., Vachon, I., Charron, M., Zagrebina, A., Armstrong, M., Tardif, S., Tadjiogue Agoumfo, Y. W., Bikie Bi Nguema, N. et Gulian, T. 2022. Enquête sur la réussite à l’enseignement collégial, à partir des données du SPEC 1 2021 : rapport de recherche général portant sur les étudiantes et les étudiants des populations A et B. ÉCOBES – Recherche et transfert; CRISPESH; IRIPII.