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Investissement de 2 M$ au Cégep Édouard-Montpetit pour mettre à l'étude son projet Ajout d'espace et réaménagement des cliniques-écoles

LONGUEUIL, QC, le 9 sept. 2019 /- Pour lui permettre d'augmenter son taux de diplomation et de développer ses programmes d'études et ses services à la communauté à son campus de Longueuil, le Cégep Édouard-Montpetit se voit accorder une aide financière de 2 millions de dollars pour la mise à l'étude de son projet Ajout d'espace et réaménagement des cliniques-écoles.

Le ministre de l'Éducation et de l'Enseignement supérieur, M. Jean-François Roberge, et le ministre délégué à la Santé et aux Services sociaux, M. Lionel Carmant, en ont fait l'annonce aujourd'hui au Cégep Édouard-Montpetit.

Les cliniques-écoles de cet établissement sont un lieu privilégié d'apprentissage et de développement des pratiques professionnelles pour quelque 800 étudiants, 100 professeurs et plus de 6 000 usagers annuellement. Dans le but de bien accomplir sa mission, le Cégep doit réviser les espaces physiques de ses cliniques. La configuration actuelle des différents pavillons de l'établissement restreint le développement de certains programmes d'études et des services à la population. Ce projet permettra également de repenser certains laboratoires pour qu'ils soient mieux adaptés aux pratiques professionnelles actuelles.

Citations

« Nous avons, au Québec, un réseau d'enseignement supérieur de très grande qualité. Pour le maintenir et permettre à nos établissements de conserver leur dynamisme et leur attractivité, nous devons demeurer proactifs et proposer des solutions innovantes. En autorisant le Cégep Édouard-Montpetit à aller de l'avant avec la mise à l'étude de son projet d'agrandissement, nous lui permettons de réaliser une première étape essentielle. À terme, ce projet bénéficiera à des milliers d'étudiants et étudiantes et permettra au cégep de continuer à former une main‑d'œuvre qualifiée et compétente. »

Jean-François Roberge, ministre de l'Éducation et de l'Enseignement supérieur

« Il nous faut continuellement former de nouvelles cohortes de professionnels de la santé, en raison de la hausse constante des besoins et de l'évolution rapide des traitements et des pratiques cliniques, et c'est pourquoi un tel projet est de bon augure. Cela témoigne des efforts réels que nous faisons collectivement pour nous adapter aux défis actuels de la société, notamment en matière de main-d'œuvre, dont les besoins sont très grands, dans le milieu de la santé comme ailleurs. »

Lionel Carmant, ministre délégué à la Santé et aux Services sociaux